vendredi 30 janvier 2009
La Belle et le Clochard
Un soir de noël, ‘Jim Cheri’ offre à sa femme ‘Darling’ un magnifique cocker qu’ils nommeront Lady. Choyée et entourée de l’affection de cette famille, elle grandit et se voit offrir un collier qui fait l’admiration de ses deux amis, Jock, un griffon écossais, et César, un vieux limier radoteur qui a perdu le sens de l’odorat.
Malheureusement, la naissance d’un bébé dans son foyer va venir troubler l’existence de Lady, surtout quand la vieille tante Sarah va venir surveiller la maison, accompagnée de ses deux chats siamois…
Extrait de :
http://www.dvdcritiques.com/critiques/dvd_visu.aspx?dvd=3775
lundi 26 janvier 2009
dimanche 25 janvier 2009
Mandala
Moines de l'école bouddhique du Kalacakra construisant un mandala à l'aide de sables colorés.
Mandala est un terme sanskrit signifiant cercle, et par extension, sphère, environnement, communauté. Puisqu'il désigne avant tout l'entourage sacré d'une déité, il est encore préférable d'appeler yantra les représentations plus stylisées.
Le diagramme symbolique du mandala peut alors servir de support de méditation.
Certains mandalas, très élaborés et codifiés, en deviennent semi-figuratifs, semi-abstraits.
Le mot mandala, en hindouisme, a les sens suivants :
"1) disque, cercle, sphère ;
2) toute figure géométrique apparentée au cercle ;
3) structure, forme d'organisation ;
4) dessin que l'on trace sur le sol ou sur un autre support à l'occasion de divers rites".
jeudi 22 janvier 2009
Demain, dès l'aube...
Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.
J'irai par la forêt, j'irai par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.
Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.
Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.
(Recueil : Les contemplations)
Victor HUGO (1802-1885)
mardi 20 janvier 2009
Une autre belle surprise !
Mon amie Rose m'a offert ce très beau cadeau
Ah, je suis vraiment gâtée ! Merci beaucoup pour cette très jolie création !
Je me prends à rêver que je suis cette douce elfe !.....
lundi 19 janvier 2009
Très agréable surprise !
Il m'a été decerné ce jour un très beau prix d'amitié, par miss Dutonnerre, une amie rencontrée sur le site de création Dailymotion.
Christiane, cela me touche énormément que tu aies choisi mon blog et c'est un réel plaisir de figurer parmi tes Amies artistes dans l'art de la couture, broderie, confection de bijoux en perles, etc..., et....gourmandes également, qui donnent d'excellentes recettes de cuisine. La bonne humeur, la beauté, la convivialité sont toujours présentes sur ces sites.
Merci et que nous apprenions à nous connaître encore et à nous apprécier mutuellement.
Bisous.
Mes amis qui passez me rendre visite, je tiens à partager ce cadeau avec vous, et vous remercier de vos messages!
Rêveuse
REVEUSE
Je t'imagine
Au soleil couchant
Je te devine
Toi, si élégant…
Sur cette plage
Très intrigante
Près de ces vagues
Si flamboyantes…
Le vent se lève
Au bord du rivage
Ce qui apaise
Ton doux visage…
Le sable fin survole
Cette trêve merveilleuse
Puis il s'envole
Vers ta bouche rieuse…
On entend au loin
Le bruit de la mer
S'éloignant en vain
Vers d'autres mystères…
Le ciel bleu azur
Réveille l'horizon
Lui qui, à coup sûr,
Est triste hors saison.
Je vois se poser
Sur tes lèvres délicates
Un de mes baisers
Qui de loin t'exalte…
Carole SHMIDT
dimanche 18 janvier 2009
La vieille maison abandonnée
La vieille maison abandonnée
Le mur est gris, la tuile est rousse,
L'hiver a rongé le ciment ;
Des pierres disjointes la mousse
Verdit l'humide fondement
La porte où file l'araignée,
Qui n'entend plus le doux accueil,
Reste immobile et dédaignée
Et ne tourne plus sur son seuil.
Les volets que le moineau souille
Détachés de leurs gonds de rouille,
Battent nuit et jour le granit,
Les vitraux brisés par les grêles
Livrent aux hirondelles
Un libre passage à leur nid !
De la solitaire demeure
Une ombre lourde d'heure en heure
Se détache sur le gazon :
Et cette ombre, couchée et morte,
Est la seule chose qui sorte
Tout le jour de cette maison !
A l'heure où la rosée s'évapore
Tous ces volets fermés s'ouvraient à sa chaleur,
Pour y laisser entrer, avec la tiède aurore,
Les nocturnes parfums de nos vignes en fleur.
La mère de sa couche à ces doux bruits levée,
Sur ces fronts inégaux se penchait tour à tour,
Comme la poule heureuse assemble sa couvée,
Leur apprenant les mots qui bénissent le jour.
Moins de balbutiements sortent du nid sonore,
Quand au rayon d'été qui vient la réveiller,
L'hirondelle au plafond qui les abrite encore,
A ses petits sans plume apprend à gazouiller.
Et les bruits du foyer que l'aube fait renaître,
Montaient avec le jour, et dans les intervalles,
Des aboiements du chien qui voit sortir son maître
Les Claviers résonnaient dans le chant des cigales.
Alphonse de Lamartine (1790 - 1869)
samedi 17 janvier 2009
vendredi 16 janvier 2009
jeudi 15 janvier 2009
Poésie......
Apollon, la Poésie et la Musique,
sculpture en bronze et en feuille d'or d'Aimé Millet - Opéra Garnier
La poésie est appelée le langage des dieux.
Fonction poétique
En linguistique, la poésie est décrite comme un énoncé centré sur la forme du message où la fonction poétique est prédominante. Dans la prose l’important est le « signifié », elle a un but « extérieur » (la transmission d’informations) et se définit comme une marche en avant que peut symboliser une flèche et que révèle la racine latine du mot qui signifie « avancer ».
En revanche, pour la poésie, l’importance est orientée vers la « forme », vers le signifiant, dans une démarche « réflexive », symbolisée par le « vers » qui montre une progression dans la reprise avec le principe du retour en arrière (le vers se « renverse ») que l’on peut représenter par une spirale.
La poésie ne se définit donc pas par des thèmes particuliers mais par le soin majeur apporté au signifiant pour qu’il démultiplie le signifié : l’enrichissement du matériau linguistique prend en effet en compte autant le travail sur les aspects formels que le poids des mots, allant bien au delà du sens courant du terme « poésie » qui renvoie simplement à la beauté harmonieuse associée à une certaine sentimentalité.
L’expression poétique offre cependant au cours de l’Histoire des orientations variées selon la dominante retenue par le poète. (Wikipédia)
"Le but de l’art est presque divin : ressusciter, s’il fait de l’histoire ; créer, s’il fait de la poésie"
Victor Hugo
La Tendresse - Bourvil
LA TENDRESSE - BOURVIL
On peut vivre sans richesse
Presque sans le sou
Des seigneurs et des princesses
Y'en a plus beaucoup
Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas
Non, non, non, non
On ne le pourrait pas
On peut vivre sans la gloire
Qui ne prouve rien
Etre inconnu dans l'histoire
Et s'en trouver bien
Mais vivre sans tendresse
Il n'en est pas question
Non, non, non, non
Il n'en est pas question
Quelle douce faiblesse
Quel joli sentiment
Ce besoin de tendresse
Qui nous vient en naissant
Vraiment, vraiment, vraiment
Le travail est nécessaire
Mais s'il faut rester
Des semaines sans rien faire
Eh bien... on s'y fait
Mais vivre sans tendresse
Le temps vous parait long
Long, long, long, long
Le temps vous parait long
Dans le feu de la jeunesse
Naissent les plaisirs
Et l'amour fait des prouesses
Pour nous éblouir
Oui mais sans la tendresse
L'amour ne serait rien
Non, non, non, non
L'amour ne serait rien
Quand la vie impitoyable
Vous tombe dessus
On n'est plus qu'un pauvre diable
Broyé et déçu
Alors sans la tendresse
D'un cœur qui nous soutient
Non, non, non, non
On n'irait pas plus loin
Un enfant vous embrasse
Parce qu'on le rend heureux
Tous nos chagrins s'effacent
On a les larmes aux yeux
Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu...
Dans votre immense sagesse
Immense ferveur
Faites donc pleuvoir sans cesse
Au fond de nos cœurs
Des torrents de tendresse
Pour que règne l'amour
Règne l'amour
Jusqu'à la fin des jours
On peut vivre sans richesse
Presque sans le sou
Des seigneurs et des princesses
Y'en a plus beaucoup
Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas
Non, non, non, non
On ne le pourrait pas
On peut vivre sans la gloire
Qui ne prouve rien
Etre inconnu dans l'histoire
Et s'en trouver bien
Mais vivre sans tendresse
Il n'en est pas question
Non, non, non, non
Il n'en est pas question
Quelle douce faiblesse
Quel joli sentiment
Ce besoin de tendresse
Qui nous vient en naissant
Vraiment, vraiment, vraiment
Le travail est nécessaire
Mais s'il faut rester
Des semaines sans rien faire
Eh bien... on s'y fait
Mais vivre sans tendresse
Le temps vous parait long
Long, long, long, long
Le temps vous parait long
Dans le feu de la jeunesse
Naissent les plaisirs
Et l'amour fait des prouesses
Pour nous éblouir
Oui mais sans la tendresse
L'amour ne serait rien
Non, non, non, non
L'amour ne serait rien
Quand la vie impitoyable
Vous tombe dessus
On n'est plus qu'un pauvre diable
Broyé et déçu
Alors sans la tendresse
D'un cœur qui nous soutient
Non, non, non, non
On n'irait pas plus loin
Un enfant vous embrasse
Parce qu'on le rend heureux
Tous nos chagrins s'effacent
On a les larmes aux yeux
Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu...
Dans votre immense sagesse
Immense ferveur
Faites donc pleuvoir sans cesse
Au fond de nos cœurs
Des torrents de tendresse
Pour que règne l'amour
Règne l'amour
Jusqu'à la fin des jours
mercredi 14 janvier 2009
mardi 13 janvier 2009
Pour rire ! Avec les z'animaux
Un voleur s'apprête à entrer dans une maison quand il voit un écriteau:
"Attention perroquet méchant!"
Il rit, franchit la porte et entend le perroquet crier:
"Vas-y Rex, attaque."
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Qu'est-ce qui fait 999 fois "Tic" et 1 fois "Toc"?
Réponse: Un mille pattes avec une jambe de bois!
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- Monsieur, savez-vous que votre chien aboie toute la nuit?
- Oh, ça ne fait rien, il dort toute la journée!
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Le lion est le roi de la jungle.
Il n'a peur que d'un animal. Lequel ?
Réponse : La lionne
Le renard et le petit prince ! Prenez le temps de lire cet extrait : il est très riche !
Le renard et le petit prince !
C'est alors qu'apparut le renard :
Bonjour dit le renard.
Bonjour, répondit poliment le petit prince, qui se retourna mais ne vit rien.
Je suis là, dit la voix, sous le pommier...
Qui es-tu? dit le petit prince. Tu es bien poli...
Je suis un renard, dit le renard.
Viens jouer avec moi, lui proposa le petit prince. Je suis tellement triste...
Je ne puis pas jouer avec toi, dit le renard. Je ne suis pas apprivoisé.
Ah! pardon, fit le petit prince.
Mais, après réflexion, il ajouta :
Qu'est-ce que signifie "apprivoiser" ?
Tu n'es pas d'ici, dit le renard, que cherches-tu?
Je cherche les hommes, dit le petit prince. Qu'est-ce que signifie "apprivoiser" ?
Les hommes, dit le renard, ils ont des fusils et ils chassent. C'est bien gênant ! Il élèvent aussi des poules. C'est leur seul intérêt. Tu cherches des poules?
Non, dit le petit prince. Je cherche des amis. Qu'est-ce que signifie "apprivoiser"?
C'est une chose trop oubliée, dit le renard. Ca signifie créer des liens..."
Créer des liens?
Bien sûr, dit le renard. Tu n'es encore pour moi qu'un petit garçon tout semblable à cent mille petits gerçons. Et je n'ai pas besoin de toi. Et tu n'as pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi qu'un renard semblable à cent mille renards. Mais, si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde...
Je commence à comprendre, dit le petit prince. Il y a une fleur... je crois qu'elle m'a apprivoisé...
C'est possible, dit le renard. On voit sur terre toutes sortes de choses...
Oh! Ce n'est pas sur terre, dit le petit prince
Le renard parut très intrigué :
Sur une autre planète?
Oui.
Il y a des chasseurs, sur cette planète-là?
Non.
Ça, c'est intéressant! Et des poules?
Non.
Rien n'est parfait, soupira le renard.
Mais le renard revint à son idée :
Ma vie est monotone. Je chasse les poules, les hommes me chassent. Toutes se ressemblent, et tous les hommes se ressemblent. Je m'ennuie donc un peu. Mais, si tu m'apprivoises, ma vie sera comme ensoleillée. Je connaîtrai un bruit de pas qui sera différent de tous les autres. Les autres pas me font rentrer sur terre. Le tien m'appellera hors du terrier, comme une musique. Et puis regarde! Tu vois là-bas, les champs de blé? Je ne mange pas de pain. Le blé pour moi est inutile. Les champs de blé ne me rappellent rien. Et ça, c'est triste! Mais tu as des cheveux couleur d'or. Alors ce sera merveilleux quand tu m'auras apprivoisé! Le blé qui est doré, me fera souvenir de toi. Et j'aimerai le bruit du vent dans le blé...
Le renard se tut et regarda longtemps le petit prince :
S'il te plaìt... apprivoise-moi, dit-il.
Je veux bien, répondit le petit prince, mais je n'ai pas beaucoup de temps. J'ai des amis à découvrir et beaucoup de choses à connaìtre.
On ne connaìt que les choses que l'on apprivoise, dit le renard. Les hommes n'ont plus le temps de rien connaìtre. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis. Si tu veux un ami, apprivoise-moi!
Que faut-il faire? Dit le petit prince.
Il faut être très patient, répondit le renard. Tu t'assoiras d'abord un peu loin de moi, comme ça, dans l'herbe. Je te regarderai du coin de l'œil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus. Mais, chaque jour, tu pourras t'asseoir un peu plus près...
Le lendemain revint le petit prince.
Il eût mieux valu revenir à la même heure, dit le renard. Si tu viens, pas exemple, à quatre heures de l'après-midi, dés trois heures je commencerai d'être heureux. Plus l'heure avancera, plus je me sentirai heureux. A quatre heures, déjà, je m'agiterai et m'inquiéterai; je découvrirai le prix du bonheur! Mais si tu viens n'importe quand, je ne saurai jamais à quelle heure m'habiller le coeur... Il faut des rites.
Qu'est-ce qu'un rite? Dit le petit prince.
C'est quelque chose de trop oublié, dit le renard. C'est ce qui fait qu'un jour est différent des autres jours, une heure, des autres heures. Il y a un rite, par exemple, chez mes chasseurs. Ils dansent le jeudi avec les filles du village. Alors le jeudi est jour merveilleux! Je vais me promener jusqu'à la vigne. Si les chasseurs dansaient n'importe quand, les jours se ressembleraient tous, et je n'aurais point de vacances.
Ainsi le petit prince apprivoisa le renard. Et quand l'heure de départ fut proche :
Ah! dit le renard... Je pleurerai.
C'est ta faute, dit le petit prince, je ne te souhaitais point de mal, mais tu as voulu que je t'apprivoise...
Bien sûr, dit le renard.
Mais tu vas pleurer! dit le petit prince.
Bien sûr, dit le renard.
J'y gagne, dit le renard, à cause de la couleur du blé. Puis il ajouta : Va revoir les roses. Tu comprendras. Tu comprendras que la tienne est unique au monde. Tu reviendras me dire adieu, et je te ferai cadeau d'un secret.
Le petit prince s'en fut revoir les roses : Vous n'êtes pas du tout semblables à ma rose, vous n'êtes rien encore, leur dit-il. Personne ne vous a apprivoisées et vous n'avez apprivoisé personne. Vous êtes comme était mon renard. Ce n'était qu'un renard semblable à cent mille autres. Mais, j'en ai fait mon ami, et il est maintenant unique au monde. Et les roses étaient bien gênées. Vous êtes belles, mais vous êtes vides, leur dit-il encore. On ne peut pas mourir pour vous. Bien sûr, ma rose à moi, un passant ordinaire croirait qu'elle vous ressemble. Mais à elle seule elle est plus importante que vous toutes, puisque c'est elle que j'ai arrosée. Puisque c'est elle que j'ai mise sous globe. Puisque c'est elle que j'ai abritée par le paravent. Puisque c'est elle dont j'ai tué les chenilles (sauf les deux ou trois pour les papillons). Puisque c'est elle que j'ai écoutée se plaindre, ou se vanter, ou même quelquefois se taire. Puisque c'est ma rose.
Et il revient vers le renard : Adieu, dit-il...
Adieu, dit le renard. Voici mon secret. Il est très simple: on ne voit bien qu'avec le coeur. L'essentiel est invisible pour les yeux.
L'essentiel est invisible pour les yeux, répéta le petit prince, afin de se souvenir.
C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante.
C'est le temps que j'ai perdu pour ma rose... fit le petit prince, afin de se souvenir.
Les hommes ont oublié cette vérité, dit le renard. Mais tu ne dois pas l'oublier. Tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé. Tu es responsable de ta rose...
Je suis responsable de ma rose... répéta le petit prince, afin de se souvenir.
Tiré de : Le petit prince par Antoine de Saint-Exupéry
lundi 12 janvier 2009
Beau Cadeau
dimanche 11 janvier 2009
samedi 10 janvier 2009
Stage de karate à Nice - Pour info !
vendredi 9 janvier 2009
art floral - ikebana
L’Ikebana (生け花 ou いけばな) également connu sous le nom de kadō (華道 ou 花道), la Voie des fleurs est un art traditionnel japonais basé sur la composition florale.
Au contraire de la forme décorative des arrangements floraux dans les pays occidentaux, l’arrangement floral japonais crée une harmonie de construction linéaire, de rythme et de couleurs. Alors que les Occidentaux tentent d'accentuer la quantité et les couleurs des fleurs, portant leur attention essentiellement sur la beauté de la fleur, les Japonais accentuent l'aspect linéaire de l’arrangement. Ils ont développé un art qui valorise aussi bien le vase, les tiges, les feuilles et les branches que la fleur elle-même. La structure complète de l'arrangement floral japonais est axée sur trois points principaux symbolisant le ciel, la terre et l’humanité à travers les trois piliers, asymétrie, espace et profondeur.
source : wikipedia
jeudi 8 janvier 2009
Chouette effraie
Le fantôme blanc ou la dame blanche.
L'effraie (nom latin : tito alba) est un animal nocturne et solitaire comme la chouette. On la trouve presque partout dans le monde, à part en Antarctique . La femelle peut pondre 4 à 7 oeufs et l'incubation dure 4 à 5 semaines.
L'effraie est un oiseau carnivore et insectivore. Elle chasse dans les champs avoisinants et a 3 périodes de chasse durant la nuit. Elle habite dans les vieux bâtiments, dans les étables, dans les granges, et dans des églises. Elle vit là où l'homme vit. La plupart des effraies dorment le jour et sortent la nuit pour se nourrir. Les yeux de l'effraie sont plus sensibles que les nôtres. Par contre, elle voit parfaitement la nuit. Elle a une ouïe très développée.
Son cri est strident et répétitif, on le compare avec le ronflement d'un dormeur.
Les trois premières plumes de devant qu'on appelle les vibrisses, ressemblent un peu à un peigne, et ce peigne a la faculté d'amortir le contact de l'air dans les plumes. Ce qui permet à la chouette de ne pas se faire remarquer. Ce sont les seuls oiseaux adaptés de cette manière là pour un vol silencieux.
Elle se nourrit de grenouilles, rongeurs (mulots, musaraignes, campagnols des champs), insectes, de temps en temps d' oiseaux. Elle va se rabattre sur les oiseaux si jamais elle n'a rien trouvé d' autre.
Sa longévité est d'environ 18 ans/20 ans.
La non-demande en mariage - Georges Brassens
Ma mie, de grâce, ne mettons
Pas sous la gorge à Cupidon
Sa propre flèche
Tant d'amoureux l'ont essayé
Qui, de leur bonheur, ont payé
Ce sacrilège...
[Refrain] :
J'ai l'honneur de
Ne pas te de-
mander ta main
Ne gravons pas
Nos noms au bas
D'un parchemin
Laissons le champs libre à l'oiseau
Nous seront tous les deux priso-
nniers sur parole
Au diable les maîtresses queux
Qui attachent les cœurs aux queues
Des casseroles!
[Refrain]
Vénus se fait vielle souvent
Elle perd son latin devant
La lèchefrite
A aucun prix, moi je ne veux
Effeuiller dans le pot-au-feu
La marguerite
[Refrain]
On leur ôte bien des attraits
En dévoilant trop les secrets
De Mélusine
L'encre des billets doux pâlit
Vite entre les feuillets des li-
vres de cuisine.
[Refrain]
Il peut sembler de tout repos
De mettre à l'ombre, au fond d'un pot
De confiture
La jolie pomme défendue
Mais elle est cuite, elle a perdu
Son goût "nature"
[Refrain]
De servante n'ai pas besoin
Et du ménage et de ses soins
Je te dispense
Qu'en éternelle fiancée
A la dame de mes pensées
Toujours je pense
[Refrain]
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FIN DE CETTE SERIE DE MESSAGES...
Mais, il y en a beaucoup d'autres.......
Ne les loupez pas!
Ce serait DOMMAGE!
J'Y ai mis tout mon ♥♥♥♥♥
Alors soit : click sur messages plus anciens
soit : Regard sur belle série de photo commentées, on
déroule, on déroule, on contemple,.. et sur Minnie
Petite souris, en bas de page, ON CLICK, et on revient, comme par enchantement, en haut de page. Et c'est reparti pour un tour de messages, à volonté.
Bonne promenade !
Et commentez, allez-y. Cela me fait plaisir!
MERCI, Charmants visiteurs et teuses!
LISTE DES CADEAUX DESIRES !
- JUSTE UN GENTIL ET BEAU SOURIRE ou
- Ballotin de chocolats assortis
- Lamborghini (jaune poussin)
- Pastels géants à l'écu (à volonté : rouges, bleus, verts.........)
- T 36/38pantalon extra-slim en cuir
- VFR800 ABS HONDA